Ils ont tous perdu... tous ceux qui nous ont fait du mal, tous ceux qui ne nous méritaient pas, qui ne méritaient pas notre amour, notre affection, notre désir, notre corps et notre colère... Ils ont perdu car ils ne retrouveront jamais ce qu'ils ont vécu avec nous,... Ils sont à nouveau aliénés, seuls même lorsqu'ils sont accompagnés, fades, tristes comme de pauvres pantins...
c'est peut-être prétentieux, mais il est bon parfois d'admettre ce genre de choses... Nous ne sommes pas communes, nous sommes sans limite, sans frontière, nous aimons et haïssons à outrance,... de nous, naissent les passions, les évènements, les retournements de situations,.... de nous, naissent des hommes, plein de volontés et de courage... lorsqu'ils nous abandonnent, nous trahissent,... ils perdent tout, leur substance... le piedestal où on les a porté.
Derrière presque chaque homme, il y a une femme, une muse, celle qui pousse à s'accomplir...
Il ment, a peur d'être seul, sans bobonne mais ne peut imaginer une vie sans ta chair, sans ton regard violent et arrogant, sans ta liberté qu'il aimerait tant dominer et enfermer... Il faut être sans pitié, c'est un combat de chaque jour, un combat de chair, de paroles et de regards... "là, c'est moi qui te baise"... oui, ça se termine souvent dans les plumes,... une lutte infinie d'où sort tant de beauté et de violence.
Le feu.
et aprés ça, le repos, la sérénité et le chêne au regard si doux et fort... la stabilité même, ce qu'on attendait, celui qui ne cherche pas plus loin que ce qu'il a déjà, ce qu'il crée par d'autres moyens... la création ne naît plus de l'affrontement, il naît de l'accord, de la confiance, du respect.... une autre forme, une autre vie... et plus de douleur, plus de doute, juste une vague chaleur qui enveloppe comme dans une bulle de savon... Pas ce genre de cocon douceureux où elles enferment celui qu'elles ne veulent pas perdre... non, c'est autre chose... c'est peut être ça la "vie"...
c'est peut-être prétentieux, mais il est bon parfois d'admettre ce genre de choses... Nous ne sommes pas communes, nous sommes sans limite, sans frontière, nous aimons et haïssons à outrance,... de nous, naissent les passions, les évènements, les retournements de situations,.... de nous, naissent des hommes, plein de volontés et de courage... lorsqu'ils nous abandonnent, nous trahissent,... ils perdent tout, leur substance... le piedestal où on les a porté.
Derrière presque chaque homme, il y a une femme, une muse, celle qui pousse à s'accomplir...
Il ment, a peur d'être seul, sans bobonne mais ne peut imaginer une vie sans ta chair, sans ton regard violent et arrogant, sans ta liberté qu'il aimerait tant dominer et enfermer... Il faut être sans pitié, c'est un combat de chaque jour, un combat de chair, de paroles et de regards... "là, c'est moi qui te baise"... oui, ça se termine souvent dans les plumes,... une lutte infinie d'où sort tant de beauté et de violence.
Le feu.
et aprés ça, le repos, la sérénité et le chêne au regard si doux et fort... la stabilité même, ce qu'on attendait, celui qui ne cherche pas plus loin que ce qu'il a déjà, ce qu'il crée par d'autres moyens... la création ne naît plus de l'affrontement, il naît de l'accord, de la confiance, du respect.... une autre forme, une autre vie... et plus de douleur, plus de doute, juste une vague chaleur qui enveloppe comme dans une bulle de savon... Pas ce genre de cocon douceureux où elles enferment celui qu'elles ne veulent pas perdre... non, c'est autre chose... c'est peut être ça la "vie"...
by the cat
27 octobre 2008
Rentrée, j'ai pas pleuré et j'ai même pas eu besoin de crayolas... La prof qui parle en chinois version polonaise non-soutitré... késako? 
toi, l'inconnu, toi qui passe dans cette rue,
Il parle comme je respire, comme mon être vit...lent, souple, doux,... plusieurs mots en un seul, plusieurs phrases en une seule... un poème en un long phrasé musicale....il respire, je reste en suspens, mon coeur loupe un battement... et reprends sa mélodie et la continuité de mon existence...